samedi, août 28, 2010

Hein ? Quoi ? Serait-ce possible que...?

Nom de Zeus et Mazette !
Comme l'une des scènes mythiques du cinéma, que je cite allègrement en ce jour d'une manière brutale et promptement hallucinante : " He's alive ! Aliiiiiiive !"
L'almanachronique n'est pas mort ! Ou si vous le préférez, dans un souci d'hétérosexualité latente et subordonnée à un penchant naturel : l'almanachronique n'est pas morte ! " She's alive ! Aliiiiiiive !" Et pour parachever le tout, l'auteur, qui ne s'est toujours pas remis de cette trop longue absence, absence subite et grotesquement contemporaine, l'auteur disais-je est également alive, ce qui dénote d'un grand sens de l'à-propos et d'une certaine logique.
Or donc chers blogos, et toi ardente et délaissée blogose ( je m'imagine aisément qu'il n'y a plus personne en ce bas-monde), voici l'annonce du retour de l'almanachronique !!!
Une almanachronique qui sera rythmée différemment. Pour ainsi dire elle sera hebdomadaire, à deux bosses ?, il faut encore définir le jour de publication; et qui plus est, elle sera également présente dans les kiosques.
- Non ?
Si si ma blogose impératrice ! Je vais mettre en place une publication originale, couchée sur papier, que l'on pourra trouver bi-mensuellement dans certains kiosques gersois, voire pour les plus lointains d'entre vous, en votre boîte aux lettres ! A définir dans un proche futur pour de plus amples détails.
Mais avant cela, attendons patiemment d'ici quinze jours, pour la rentrée officielle, l'almanachronique-hebdo !
Hmmmmm !
Je suis en pleine forme !!! Sachez-le !
A bientôt !
Ya quelqu'un ?
Ohé !?

mercredi, mai 05, 2010

RIEN NE VA PLUS !

Hello les blogos ! Râââââ pas lovely la blogose !

J'enrage, je peste ! Et encore, c'est un doux euphémisme, comme l'on dit chez les con-passés de la diatribe éventée !
Après bien des ennuis d'ordinateur, qui ne sont toujours pas résolus, désormais c'est le contact avec internet qui me pousse à la haine peu vaine.
J'enrage, je peste !
Comme quoi, en ce monde de douces technologies-cognitives, si tu n'as plus de connexion, par le biais d'internet, avec le monde de par là-bas, vous en l'occurrence, t'as l'air d'un con ! Eh bien, je vous le dis tout net : " J'ai l'air d'un con !"
Je souhaite donc, d'ici peu, résoudre ces problèmes à la mords-moi-l'noeud, et vous retrouver trèèèèèèèèès bientôt sur ce blog, désormais silencieux, mais néanmoins effervescent.
Soyez à l'écoute !
Depuis que Siné est parti, c'est l'bordel !
J'enrage, je peste !

mercredi, avril 28, 2010

L'almanachronique du 28 avril


Hello les blogos ! Pas glop, pas glop la blogose !

- " Niqab ta mère !"
C'est à peu près en ces termes que Liès Hebbadj accueillit froidement l'amende que sa femme voilée contracta lors d'un contrôle de police. On ne saurait être plus explicite !
Quelle histoire ! Mais quelle histoire ! Une histoire nauséabonde qu'HorteFEUER attise ardemment pour mieux masquer intégralement le bordel ambiant !
Et tout ça, alors que Siné-Hebdo affiche un CIAO ! définitif et douloureux à sa une finale. Paradoxe de notre temps. Alors que l'on a grandement besoin de souffle ironique et jubilatoire, face aux dérives incessantes d'une société à vau-l'eau, voilà que le silence s'impose et se plie aux exigences matérielles. C'est rageant !
Va falloir résister nom de Zeus ! Résister encore et toujours ! Résister pour garder intact notre raillerie quotidienne. Notamment, et toujours selon l'incident provoqué par ce même Liès, mentionné plus haut, quand il déclare qu'il faut faire la différence entre femme et maîtresse. Point de polygamie donc !
Il a raison. Il faut se méfier des amalgames. La polygamie est certes interdite en France, mais point l'adultère. Quel talent il a ce con ! Faudrait juste savoir ce qu'il pense de la polyandrie, le fait pour une femme d'avoir plusieurs maris, voire plusieurs amants. je me doute de la réponse.
Alors ? Femme ou maîtresse ? Polygamie ou adultère ? Interrogeons un spécialiste. Sacha Guitry pour ne pas le nommer. Un auteur qui avait l'art d'aimer dans la délicatesse et le respect d'autrui, surtout de lui-même. Il disait pour clore un débat qui n'existait pas : " Depuis que j'ai une maîtresse que j'aime, je n'ai plus envie de tromper ma femme."
Voilà une bonne conclusion !
Et une bonne perspective d'avenir...

Siné-Hebdo : c'est la chute finale !

Les aventures de Sarko en Chine

Louisiane Blues !

The New Yorker Mai 1984

mardi, avril 27, 2010

L'almanachronique du 27 avril


Hello les blogos ! T'as l'convexe la blogose !

Un beau jour, en notre ère de douces errances, il se produisit un phénomène singulier et en tous points comparable à celui qu'Archimède avait provoqué à la sortie de son bain, en poussant son célèbre : " Eurêka !". Un mot, un simple mot, fut la source d'une mode orale que tout le monde reprit allègrement. Aujourd'hui, celui-ci, ce mot particulier, se mange à toutes les sauces, est en exergue sur certains frontons, prolonge inutilement une intention louable; bref, nous les casse amèrement avec ostentation ! Mais cessons-là ce mystère, et voici ce mot, devenu détestable et fortement haïssable : convivial.
Hélas ! Hélas ! Hélas ! Le malheureux qui prononça le premier ce mot, pour le moins sympathique au demeurant, ne pouvait deviner ce qu'il allait advenir du temps qui passe. Mais le pouvait-il d'ailleurs ? Convivial, de convivialité, et selon le dictionnaire, exprime les rapports positifs entre personnes au sein de la société, et la relation des convives qui ont plaisir à boulotter ensemble. Quoi de mieux ? Quoi de plus plaisant pour un épicurien et un sybarite des troquets ? Hélas ! Trois fois hélas !
Car tout est devenu convivial. Jusqu'à la nausée. La convivialité est devenue la noble cause des analphabètes des festivités poussives, et même au-delà. Et que je te cite convivial à tout va, prôné par les uns, affiché par les autres pour mieux s'en convaincre, souligné en noir dans un texte pour signifier grassement le plaisir attendu et tant désiré, il est partout. Toujours placé après le sujet, convivial semble régner en maître, comme s'il était invariablement d'une absolue nécessité pour réussir une fête ou tout autre chose que de n'être convivial, et seulement convivial.
Il y a bien sûr la fête conviviale, mais aussi et à juste titre le repas convivial, un apéritif convivial sous les platanes, ou pour les plus poètes sous les charmilles, une réunion conviviale, dont on sait bien qu'elle sera ennuyeuse à mourir, certains vont même jusqu'à espérer une envie conviviale, d'autres plus ambitieux et définitifs : un bonheur convivial. J'ai même ouï dire qu'un logiciel bénéficiait d'une bonne convivialité ! Quant à des producteurs de viande charolaise, ils ont tout bonnement appelé leur site internet : Convivial.fr !!! Il est aussi, me dit-on, des vins conviviaux que l'on peut boire seul. Mazette ! On en bouffe, on en boit ! D'ici à ce que l'on chie d'une convivialité respectable, il n'y a qu'un pas.
C'est à croire que, mais je dois être trop méfiant pour cela, c'est à croire, disais-je, que plus la convivialité est convoquée et affichée, plus la défiance doit être de rigueur. Moi, les types qui prônent le plaisir garanti, me font froid dans le dos. J'ai peur !
Ploum Ploum !
Blogos, ardente blogose, je déclare en ce jour de saine chaleur, et avec au jour d'aujourd'hui, l'éradication radicale de mes chroniques futures du terme convivial ! Amen !
Convivial non ?
Eh merde !

Les céréaliers à Paris

Les volcans d'Europe